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OUR BONES WERE CHALK
9 juillet 2008

DAD, THEY BROKE ME.

DAY 1.

Départ quelque peu à l’arrache pour le festival – on s’est décidé à y aller seulement dix jours avant – mais vu la programmation assez folle, mon compte en banque totalement dans le rouge le vaut. On arrive donc le vendredi sous un soleil de plomb assez imprévu, on est à Belfort tout de même, et installation dans la tente. Tente déjà installée c’est ça qui est bien, qui plus est à côté d’un groupement de jeunes hommes pas trop mal et d’un autre groupement qui écoute de la bonne musique, ce qui est certes pas très compliqué à trouver aux Eurockéennes.
On se décide à se farcir la charmante voie ferrée – qui compte plus ou moins 2000 planches en bois , ma sœur s’est amusée à les compter, oui elle est dingue – pour rejoindre le site du festival, déjà quelques peu imbibés (enfin moi en tout cas).

Premier groupe que l’on va voir, nos amis suisses les Mondrians, qui malgré mes nombreuses tentatives désespérées n’ont jamais voulu déplacer leurs fesses jusqu’à Montpellier, pas plus que jusqu’à Lyon depuis que j’y habite. C’est donc la première fois que je les vois, bien que ça fasse un bon bout de temps que je connais, du coup, je n’ai pas entendu la fabuleuse And She Says, qui doit être sortie de leur répertoire depuis belle lurette, et essentiellement des titres que je ne connaissais pas, mis à part Reason to Live et je ne sais plus lesquelles. Quelle importance me direz-vous, vous vous en battez l’œil avec une patte de mouche ce ne sont ‘que’ les Mondrians. Comme ouverture de mes eurock, c’était tout à fait sympathique, encore plus vu la charmante gueule de Maxime – je ne savais rien de son nom avant l’info de l’amie BL – qui s’est arrangé les cheveux et est grand, maigre, bref très croustillant, miam.

Après cette petite mise en bouche – je me rend compte qu’avec le croustillant du dessus cette phrase peut passer pour tout autre chose – on s’est dirigé vers la plage pour écouter un bout de Yules. Il y a écrit que c’est folk pop sur le programme des Eurock, possible, ça ne m’a pas grandement marqué, on a du rester pour deux ou trois chansons seulement avant d’aller voir encore plus rapidement A Place To Bury Strangers qui ont beau avoir un nom super coule ne font pas dans la musique super coule.
Suite à ces deux concerts sans suite, on est parti voir la pétillante Soko, qui m’avait bien fait rire avec son I Think I’m Pregnant. Ses chansons sont très courtes, pas très élaborées et les paroles dignes d’une enfant de cinq ans – elle déclare son amour pour le beurre de cacahuète dans une chanson quand même – mais c’est très agréable. Elle s’amuse beaucoup de ses textes d’ailleurs, entre peau de tigre en peluche pour I wanna Look Like a Tiger, et sa chanson sur un baby cat qui nous fera, circonstances obligent, miauler tout du long.

Direction sous le chapiteau pour attendre Cat Power – encore une histoire de chat – et une rencontre plaisante de charmants strasbourgeois qui m’ont apparemment plus marqué que Chan Marshall elle-même. Il est sur qu’il ne faut pas s’attendre à voir des gens slammer lorsque l’on va voir Cat Power de toute façon, et je suis très mauvaise langue puisque le concert était tout de même bien, Chan Marshall en forme mais ses morceaux ne sont pas sujets au mouvement des foules.
Après ça et toujours dans la catégorie ‘peut-être irais-je me pendre ce soir’ quelques morceaux de Massive Attack de très très loin avant d’aller se caler au stand de la fnac afin d’attendre Calvin Harris sensé passer par là histoire de signer deux trois bouts de papier. Une heure plus tard le jeune homme n’ayant toujours pas pointé le bout de son nez, c’est derrière une crêpe qu’on apercevra la tête des plus ou moins jeunes membres de Deus pour la fin de leur set, assez énergique mais rien de bien transcendant non plus.

calvin_harris_eurock

Après un détour par Ben Harper & the Innocent Criminals sur la grande scène, on va se préparer mentalement pour revoir Gossip, et donc prendre des coups de toute part. Beth Ditto s’est foutue rapidement à poil et s’en donne toujours à cœur joie lorsqu’il s’agit de roter dans le micro, cracher à la camera ou nous balancer des fruits à la gueule ou sur le vigile qui restera parfaitement stoïque. Elle est aussi allée faire coucou au public le traversant de part en part, le contact avec la populace suante devait lui manquer vu qu’on était pas les bienvenus sur scène.
Suite à un envoi de pizza sur la tête pour conclure le concert, ma sœur et moi-même avons courru vers la plage pour pouvoir voir Calvin Harris. Courir n’était pas une très bonne idée en réalité parce qu’il faisait noir et les gens n’étaient pas spécialement écrasés les uns contre les autres, chose heureuse pour nous laisser accéder au premier rang, mais pas tant que ça lorsque certains croient bon de s’asseoir par terre et que vous vous cassez la gueule sur eux. J’ai perdu mon portable dans cette adorable action et ai gentiment eu droit à un coup de poing raté – tant mieux j’ai envie de dire – comme quoi les gens ne sont pas toujours plus agréables dans un festival – pas que ça me plaise non plus que des gens se casse la gueule sur moi je vous dirais mais bon. Donc après cette interlude de violence avec Merrymaking At My Place en fond sonore si mes souvenirs sont justes, nous voilà à admirer Calvin, Homme Kangourou. Le jeune homme ne tient pas en place une seule seconde, il vient d’ailleurs nous faire coucou – mais il restera à 50 cm de notre portée. Il m’a semblé inépuisable, contrairement à nous – surtout lorsque vous pensez à la merveilleuse voie ferrée qui vous attend - et son concert a parfaitement clôturé la première journée.

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DAY 2.

Après une douche glacée et une attente pour celle-ci qui m’aura valu un superbe coup de soleil, l’achat nécessaire de notre carburant – entendez par là whisky et autres vodka – et les retrouvailles avec mon portable (que j’aurais presque souhaité voir disparaître histoire de le voir enfin remplacé) récupéré par la même personne sur laquelle je me suis cassée la gueule, on va de nouveau copiner avec les rails.
On arrive pour voir Tunng lors que ceux-ci ont déjà commencés depuis pas mal de temps. Je ne savais pas qu’il y avait une nana dans le groupe – cela n’a guère d’importance je le concède -  et les messieurs sont tous énormément barbus et portent le cheveu long et mal coiffé. Le concert était à n’en point douter très plaisant, tout mignon et m’a fait quelque peu regretté de ne pas être allé les voir lorsqu’ils sont passés à Lyon. D'otant plus que nous ne sommes pas restés jusqu’à la fin, Vampire Weekend oblige.

Etant dès ce moment là déjà quelque peu imbibée, j’ai énormément adoré le concert des Vampire Weekend, peut-être pus que ce qu’il ne méritait, je ne saurais. Je me souviens d’un passage assez ridicule de moi-même tentant de convaincre un pauvre petit garçon de gruger la place de devant – vu la taille qu’il faisait il avait bien le droit – peut-être histoire de m’incruster au passage, ce qu’on a reussis à faire de toute façon avec ou sans lui – je suis docteur ès grattage au premier rang c’est un fait. Mis à part cette interlude très passionnante, j’ai vraiment beaucoup aimé ce concert comme je l’ai déjà dis, c’est d’ailleurs peut-être un de ceux que j’ai préféré de toutes les eurockéennes c’est dire. J’ai trouvé les messieurs très sympathiques en eux-mêmes. « C’est la première fois qu’on joue sur une plage… Les gens disent qu’on fait la musique de la plage ou… du petit déjeuner ». Les spectateurs étaient venus surtout pour A-Punk il est vrai, et moi aussi d’ailleurs, ayant toujours trouvé leur album à deux vitesses – aussi bien farcis de mini tubes en puissance que de morceaux chiants. Un débat derrière nous a consisté à savoir s’ils venaient de Liverpool – non c’est les Wombats – bon de Brooklyn  - t’es sur c’est pas de Liverpool ? – Brooklyn alors et c’était drôle.

Ceci fait, ma bouteille perdue dans le sable, nous voilà parties à attendre au stand de la fnac, à cause des coussins très confortables, en entendantwombats_eurock Midnight Juggernauts qui passent à côté. Pour avoir entendu toute leur prestation je confirme mes craintes à leur sujet : je n’aime pas et ne voit pas spécialement en quoi ce qu’ils font est génial. Si quelqu’un veut m’expliquer, je suis disponible.
Vu qu’on a toujours rien à faire de particulièrement intéressant, on décide de se caler en attendant Santogold pendant plus ou moins une heure et demie avec en fond Cavalera Conspiracy qui joue alors sur la grande scène – et une fois de plus je ne pense pas avoir loupé grand chose.
Lorsqu’un jeune homme arrive avec ses platines et nous passe Roxanne de Police on est ravies, mais on se pose quand même deux trois questions. Avant de voir arriver les deux jeunes femmes qui accompagnent Santogold dans le clip de L.E.S. Artistes, celles qui ne bougent que pour faire leur chorégraphie et ouvrir de temps en temps la bouche – elles n’ont même pas le droit de se déplacer  pour aller chercher leur tambourin à quelques mètres derrière elles. Puis Santogold arrive, plus bling bling tu meurs : grosses lunettes, leggings bleu scintillant, t-shirt blousant jaune. La jeune femme se déchaîne pour notre plus grand plaisir, très souriante mais il ressort un certain millimètrage de son concert – et en plus, oubli préjudiciable, elle n’a pas fait I’m a Lady.
 

On enchaîne avec un genre totalement différent avec Grinderman. Nick Cave et sa luxuriante moustache, ses potes cheveux longs façons viking sur le retour, nous envoient en pleine gueule tout ce qu’ils peuvent. On en sent le sol trembler et oh mon dieu que c’est bon. On n’est cependant pas restés  très longtemps à regarder la grande gigue Cave à en découdre pour cause de Wombats.
Murph a grossis, et Cherub n’était même pas là. J’ai cru mourir – contre la barrière ou à cause des deux pimbêches qui m’entouraient je ne saurais dire par contre. Les Wombats en concert c’est tout de même assez énorme. Leurs morceaux sont calibrés pour être joués sur scène et que le public se déchaîne, ce qu’il est plutôt ravis de faire en temps normal – sauf lorsqu’on a trop peur d’avoir des bleus le lendemain, ce qui n’est pas si rare que ça au final. J’ai reçus une belle claque même si les gens qui m’entouraient avaient tendance à m’exaspérer plus que nécessaire – je suis contre les personnes qui se plaignent d’être écrasées parce qu’elle sont au premier rang alors que les gens autour sont généralement dans le même état, elles n’ont qu’à dégager, personne ne les a obligé à être là.

Histoire de retrouver nos esprit, on se dit que chouette on va pouvoir aller attendre les Ting Tings qui ont été miraculeusement ajoutés à la prog, tout en écoutant de loin N*E*R*D. A la vue du nombre d’instruments sur scène cependant, il a semblé que les Ting Tings ont été finalement annulés – encore fallait-il savoir qu’ils étaient sensés venir je vous dirais. On décide donc de retourner sous le chapiteau pour CSS.
Lovefoxx toujours aussi superbement habillée – blague – et toujours très en forme. On a apparemment eu droit à pas mal de morceaux du nouvel album qui passaient plutôt bien en live mais qui, je pense, seront assez plats sur CD.  Reste à voir je ne l’ai pas encore écouté. Et puis je ne suis pas non plus totalement fan de CSS, leur premier album ne m'a pas convaincue très rapidement. Le concert était quand même très bon, indubitabement grâce à Lovefoxx qui a l’air de se transformer en teletubbies chantant des paroles obscènes. Allez savoir pourquoi un teletubbies.

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DAY 3.

Jour pluvieux, jour heureux.
On est arrivés très en retard pour ce dernier jour, en plein milieu du set de Moriarty, plein à craquer, sûrement en partie car sous le chapiteau. Je ne me suis pas souvenue que j’avais alors prévu de voir Electric Electric et suis restée sous la pluie pour Moriarty. Je ne voyais pas grand chose et n’ai pas été totalement captivée par la musique non plus. Certes c’est plutôt bien, mais je ne passerais pas ma vie à écouter non plus, qui plus est lorsqu’on doit finir tremper. On reste néanmoins car MGMT doivent jouer sur la même scène après et qu’il faut bien pouvoir arriver à se taper l’incruste dans les premiers rangs.

Moriarty finit, la pluie se calmant quelque peu, pas mal de gens s’en vont, ce qui nous permet, une fois de plus, de nous retrouver plutôt pas trop mal placé. A ce moment là j’entrevois une jeune demoiselle avec un t-shirt Sufjan Stevens qui me rappelle quelque chose et pour cause, elle était à Interpol et ma sœur et moi-même nous sommes ‘battus’ avec elle pour récupérer une baguette. Arrivent alors Andrew, Ben et leurs petits compagnons dont un fabuleux guitariste qui s’est trompé de porte croyant qu’il allait jouer du death metal – le mouvement de la chevelure ne trompe pas. C’était un concert très plaisant, encore plus vers la fin lorsqu’ils nous ont enchaînés Electric Feel, Time to Pretend – ou un jeune homme a attenté à ma vie en me foutant des coups de coudes très violents dans le ventre, je le répète quand on ne veut pas être bousculé on ne va pas dans les premiers rang, je vais créer un groupe facebook – et enfin Kids où Andrew a respecté l’adage ‘it’s impossible of not being happy in a poncho' du philosophique Mighty Boosh, et où une envie subite de jouer à Casper l’a pris. Entendez par là je chante sous mon poncho et ne sors pas la tête une seule fois, c’est plus marrant.

Une fois cette petite recréation terminée, on se retrouve avec pas grand chose à faire, sauf se vêtir de très seyants sacs poubelles, de jouer à ‘j’évite de me casser la gueule dans la boue’ – un de mes jeux favoris depuis les Vieilles Charrues de 2007 - et d’écouter rapidement Cali avant d’aller voir à quoi ressemble Future Of The Left. Une fois constaté l’envie du chanteur de crier à plein poumon, on est reparties sous le chapiteau pour attendre Pete Doherty de très très loin en taxant des princes à de charmants messieurs devant nous. Oui il y a bien un truc chouette dans les festivals – en plus des concerts - c’est les charmants messieurs vous l’aurez compris.
On est resté pour cinq ou six chansons de la bande à Pete. Je n’ose imaginer l’état d’hystérie du premier rang, et je me demande s’il a reçu un string ce coup-ci. On n’y voyait pas grand chose, et Pete est décidément toujours habillé de la même manière. C’est bien joli monsieur Hedi mais faudrait faire quelque chose. Juste après avoir entendu Pipedown, on se barre direction la plage pour Band of Horses.

Plage presque déserte finalement, la pluie aidant. Ils ont tous des gueules de surfer australiens, spécialement le chanteur et au fond leur musique s’accorde pas si mal avec ça, et oh  miracle, le cadre aussi – pluie exceptée. Une fois de plus un concert plaisant, avec en bonus entre deux morceaux des bouts de Fuck Forever et autre joyeusetés du répertoire BabyShambles. Ce qui était particulièrement drôle dans les concerts un peu plus à l’écart des grosses têtes d’affiches c’était les connaisseurs étrangers à fond les ballons. Et souvent bourrés.yeasayer_eurock
Ceci fait, on se retrouve de nouveau sans grand chose à faire. Ma sœur voulant absolument voir The Offspring c’est vers la grande scène qu’on se dirige péniblement, la boue et la pluie ralentissant inévitablement notre avancée. On dirait qu’on a fait le parcours du combattant avec ce que je dis là. C’est la fatigue. Alors the Offspring comment vous dire je me souviens de ma fête de fin de CM2 où j’avais essayé de convaincre tous mes petits camarade que siii The Offspring ça dépote comme groupe. Je ne suis pas sûre qu’ils aient été convaincus par ma prestation, je crois que j’ai toujours été entourés de gens qui écoutaient principalement du rap, hip hop, dance, ou dans un autre domaine de la variétoch jusqu’à mon arrivée au lycée alors constatez, j’étais incomprise. Session Caliméro off, je ne suis plus au CM2 depuis belle lurette et n’écoute plus Offspring depuis une décennie, alors ça m’a ennuyé. J’en avais rien à battre et plein le dos alors j’ai boudé. Enfin plus ou moins quoi.

J’ai réussi à faire décoller ma sœur pour nous rediriger vers la plage où Yeasayer doivent alors jouer et que je ne veux pas louper. Je ne sais plus trop pourquoi d’ailleurs mais toujours est-il que j’ai eu grandement raison parce que si je n’avais pas été dans un état de fatigue trop avancé, e même alors que je l’étais, je dirais presque que ce fut mon concert préféré. On arrive tôt, donc premier rang, et alors que le groupe arrive, une bande joyeux lurons étrangers – leur nationalité me restera inconnue – se mettent à chanter tout une chanson, au grand plaisir du chanteur qui leur répondra qu’ils devraient venir chanter à sa place. Ce concert était assez magnifique malgré la pluie. Les quatre membres du groupes sont dans leur musique jusqu’au bout – le genre qui serait près à se casser la main avec leur tambourin mais qu’est ce qu’on en a à foutre le tambourin doit sonner. C’est merveilleux, le chanteur voit des bat signals in the sky, le bassiste a deux tresses tout comme Obélix, la pluie nous arrose voluptueusement, et la musique fait oublier tous les petits désagréments.

Ce petit enchantement malheureusement terminé, je veux voir ce que donne Battles, pour confirmer ou infirmer que ce groupe n’est pas ma tasse de thé. On a beau être resté tout leur set, je me suis un peu ennuyé et j’ai trouvé ça beaucoup trop lointain. Je n’ai pas du tout été touchée par leur musique à quelque moment que ce fut.
Mon premier constat réaffirmé, on va se caler en écoutant Moby qui s’autoremix de loin. Je n’aime pas Moby, ça ne change pas. Cette dernière journée n’a pas été la plus captivante (bon quand même MGMT et Yeasayer okay), et je n’en pouvais plus d’être debout déjà à la fin du premier jour. Je serais peut-être repartie sur une note un peu décevante si nous ne partions pas pour Paris le lendemain pour Kings Of Leon et MGMT bis.

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Commentaires
T
je crois que mon commentaire a pas marche jai toujours des soucis avec canalblog ^^<br /> et donc je disais que jai tout lu et que je me senns informé, c'est tout !<br /> bisous
C
allez encore un petit avant vendredi C'EST PAS LA MER A BOIRE HEIN (j'ai toujours adoré cette expression). alors dans le cadre de leur tournée française, CWK ne passe pour le moment seulement qu'à Toulouse (merci lastfm)
E
bah continu risboooo.<br /> Allez je pars dimanche là Day 2!
C
OUAAAAH BORIS VA AUX EUROCKS!!!
W
Enfin tu pourra aisément oublier leur pas-très-géniaux-sur-scène-isme en te concentrant un peu sur le dénommé Andrew VanWyngarden, non?
OUR BONES WERE CHALK
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